Transcriptions écrites
Le 15 août 1997 - Notre-Dame de Trédos
Mes enfants, Soyez dignes et courageux ! Dans les temps qui viennent, on vous désignera comme n’étant pas enfants de Dieu. Mes enfants, je vous aime et suis là justement pour vous faire suivre le chemin de Dieu. N’apportez votre colère à quiconque ; elle ne serait que la base du plus grand conflit que vous pourriez connaître. Sachez que chacun à sa propre foi et qu’au travers de celle-ci l’ego risque de faire beaucoup de ravages. Soyez ouverts à la parole Divine. Que la Bible et le chapelet soient toujours vos armes dans le conflit que vous aurez avec tout être humain et même avec vous-mêmes. Il faut que vous alliez de l’avant car au travers des temps que vous allez traverser, vous aurez bien des surprises, bien des douleurs et des joies. Toutes ces joies, vous les retrouverez au travers de Dieu le Père dans la prière et l’amour que vous octroierez aux autres, à autrui. Mes enfants, je vous remercie tous d’être venus aujourd’hui pour cette fête et je souhaite la fête à tous ceux et celles qui portent mon nom. Mes enfants, sachez que les actes que vous commettez dans la vie ne sont pas toujours irréparables. Au travers de la foi et de la prière, vous pourrez être pardonnés par Dieu le Père ; mais attention, ce que vous faites à l’intérieur de vous-même, vous en êtes responsables, et devant Dieu vous en serez toujours responsables. N’ayez peur sur le chemin que vous allez suivre, ne tremblez point même si l’on vous accuse, si l’on vous blasphème, ne baissez jamais les bras, gardez toujours la prière au fond de votre cœur et allez toujours de l’avant. Mes enfants, je donne des signes à tous, à tous ceux qui veulent m’écouter, à tous ceux qui veulent me voir, à tous ceux qui veulent me ressentir. Ces signes, vous les avez, tout être humain peut les avoir, alors ouvrez-vous, écoutez, regardez, ressentez. Il faut continuer et persévérer dans le chemin de l’union des hommes, même si beaucoup de monde vont à l’encontre de ce chemin ; un jour ils se réuniront tous pour permettre une assemblée universelle auprès de Dieu le Père. Attendez… Marie permet aujourd’hui que je vous parle. J’étais prêtre dans un petit village, dans une campagne. Je travaillais autant la nuit que le jour ; je confessais, je priais, j’allais de campagne en campagne, j’allais bénir, j’allais donner l’extrême onction. On m’appelait « le petit curé d’Ars ». Je viens ici pour vous dire que tout ce qui se passe correspond à la volonté Divine et non à la volonté de Satan. J’ai connu Satan, je me suis battu avec lui des nuits entières. Vous n’êtes point sous l’emprise de Satan et quiconque le dira devra en apporter les preuves, comme quiconque dira que vous êtes du côté de Dieu en apportera les preuves. Sachez donc écouter la parole Divine, restez près du Père Eternel en toute occasion et surtout ne vous défiez jamais d’autrui. Restez toujours unis à l’Eglise de quelque manière que l’on puisse vous traiter ; vous serez reconnus dans cette Eglise, car vous aimerez cette Eglise et l’Eglise vous aimera. Je prie chaque jour pour tous les êtres du monde entier, pour tous ceux qui souffrent, pour tous les plus petits, les plus miséreux, les plus incroyants. Et tous les jours, la foi augmente dans ce monde afin qu’elle devienne universelle. Je vous rends à votre Mère et je continuerai à prier sans cesse pour vous. Saint Jean-Marie Vianney - Curé d’Ars Mes enfants, le temps est venu où il faudra vous serrer les coudes et vous offrir votre amour mutuel, afin de l’offrir encore à autrui et de dégager le chemin de l’union au-devant de vous. Vous devez poursuivre ce chemin sans relâche et rencontrer tous ceux qui désirent vous écouter, tous ceux qui aimeraient connaître et que vous n’avez pas prévenus. Allez au-devant de tous, grands et petits, montrez-leur que le chemin du Ciel n’est pas aussi broussailleux que ce qu’ils peuvent penser et que Satan n’est pas partout là où ils croient le voir, alors qu’il n’y est pas. N’ayez peur de ce que l’on dira sur vous, n’ayez peur de ce qu’il vous arrivera en quelque occasion. Remettez toujours en Dieu votre chemin, vos soucis, votre amertume, votre colère, remettez tout à Dieu, et priez, priez pour tous ceux qui en ont besoin, et commencez aussi par prier pour vous-mêmes. Mes enfants, je vous remercie de m’avoir écoutée et je reviendrai en chaque occasion du 15 pour vous permettre d’aller au-devant de votre chemin et vous accorder la force et l’amour pour poursuivre sans jamais baisser les bras. Je suis Marie Mère des hommes. Qu’il en soit ainsi selon la volonté Divine et qu’en chacun de vous, le Père Eternel vous bénisse : « Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit ». Que toutes ces fleurs soient bénies et reposent auprès de mes effigies. Je reviendrai, mes enfants, pour vous aider et vous guider sur le chemin de la Vie. Merci d’être venus.